• Avoir comme projet de proposer la location de vacances requiert d’avoir un budget qui devient vite conséquent. Pour ce qui est de la maison d’hôte, il faut d’abord identifier les besoins ; un achat immobilier ou encore une rénovation pour adapter son logement à l’activité. Selon une étude de Gîtes de France, une enveloppe moyenne de 76 000 euros est nécessaire pour ce type de projet.

    Le crédit est un mode de financement qui peut être sollicité pour se lancer dans cette activité. Il est recommandé de bien se renseigner avant de faire une demande d’emprunt. À savoir que dans certains cas, une caution peut être demandée afin de garantir le prêt.

     

    Location de vacances, quel investissement pour une maison d’hôte ?

    Le propriétaire doit établir son budget avant de se lancer dans l’activité de maison d’hôte

    Pour compléter le budget pour ce projet, le demandeur peut aussi se tourner vers des aides et autres subventions locales. Il est toutefois à noter que la somme octroyée diffère en fonction du département. Là encore, il est conseillé de se renseigner avant toute demande pour s’assurer que les fonds correspondent au budget nécessaire.

    Le gain en matière de revenu brut annuel pour un propriétaire de maison d’hôte est estimé à 18 600 euros. Qui dit gain, dit imposition, celui qui se lance dans cette activité doit savoir qu’elle est soumise au régime fiscal de la microentreprise (micro-BIC). Il pourra toutefois profiter d’abattements sous réserve de remplir certaines conditions.


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  • Les mois passent et se ressemblent du côté du prêt immobilier. En effet, la tendance des taux de crédit au plancher perdure. Ceux-ci sont en moyenne à 1,13% selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. La Banque Centrale Européenne (BCE) affiche des taux directeurs négatifs. Cette donnée incite les institutions monétaires à prêter aux particuliers. Les indices du marché sont donc faibles et la concurrence entre les différents établissements prêteurs permet aux emprunteurs de profiter de pourcentages avantageux. À savoir que le taux de défaut du prêt immobilier en France est le plus faible en Europe, soit seulement 0,1%.

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  • En octobre dernier, un certain engouement pour la renégociation de crédit a été observé. Cette opération représentait 26 % de la production totale de l’emprunt à l’habitat alors que la part n’était que de 16,4 % il y a un an. La faiblesse des taux de crédit serait ce qui a suscité l’intérêt des emprunteurs pour cette transaction. Pour rappel, l’indice moyen pour un prêt immobilier était estimé à 1,13 % en octobre. La renégociation a permis aux emprunteurs de faire des économies en bénéficiant de conditions plus avantageuses pour leur financement.

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    La renégociation de crédit a eu du succès en octobre dernier


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  • En ligne ou en agence, solliciter l’aide d’un courtier en prêt est chose possible lors de la souscription pour un financement. Ces intermédiaires sont d’ailleurs à la tête de 40 % des prêts immobiliers octroyés cette année. Alors que la sollicitation sur le Net de ce professionnel ne coûte rien au demandeur, il faudra compter environ 1 % du capital emprunté comme rémunération pour le courtier contacté en agence. À savoir que chez certaines enseignes, le tarif affiché diffère en fonction de la complexité du dossier de prêt à traiter. À noter que le courtier endosse aussi le rôle de négociateur dans le cadre d’une demande de prêt immobilier.

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    Les frais de courtage sont généralement 1 % du capital emprunté


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  • Élément non négligeable dans un dossier de demande de prêt immobilier, l’apport est souvent un critère d’octroi chez certaines enseignes. La somme recommandée doit généralement représenter 15 à 20 % du prix d’achat du bien pour lequel le financement est souscrit. En contribuant un apport personnel qui va au-delà des 20 %, l’emprunteur a même la possibilité de négocier les taux de son prêt auprès de l’organisme de crédit. À savoir qu’il est possible de puiser dans l’épargne afin de constituer l’enveloppe qui servira pour l’apport.

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    L’apport personnel est généralement de 15 à 20 % du prix du bien immobilier


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