Dans le cadre d’un prêt immobilier, il est possible de choisir une formule modulable. Ce paramètre permet à l’emprunteur de revoir les mensualités du financement à la hausse ou à la baisse, et ce, sans frais. C’est au moment de la souscription que le demandeur devra se renseigner quant à cette démarche pour en connaitre les modalités.

Pour en faire la demande, il suffit d’adresser un courrier à l’établissement prêteur qui donnera par la suite son accord avec un nouvel échéancier. La nouvelle échéance souhaitée devra être mentionnée dans la correspondance.

Les mensualités d’un prêt immobilier peuvent être modulables

Il est bon de savoir que réduire le montant de ses mensualités signifie un rallongement de la durée de remboursement de l’emprunt à l’habitat. Le scénario est inverse si une révision à la hausse est appliquée. À noter que les courtes durées permettent de bénéficier de taux de crédit plus intéressants.

Augmenter la somme dédiée aux échéances du prêt immobilier peut être avantageux pour l’emprunteur. Par exemple, lorsqu’un particulier rajoute 100 euros par mois à l’échéance d’un prêt souscrit à 1,5 %, il bénéficie plus que lorsqu’il le place sur son livret A, dont le taux de rendement est estimé à 0,75 %.

Le demandeur doit toutefois savoir que certains établissements ne permettent la modulation des mensualités qu’après la première ou deuxième année de remboursement.

La tarification de l’assurance emprunteur peut prendre différentes formes. Le tarif garanti comprend des cotisations fixes à être honoré pendant toute la durée du contrat. Il est à savoir que le montant de ces dernières peut être revu à la hausse dans certains cas. Le tarif révisable est quant à lui sujet à des changements à chaque date d’anniversaire du contrat. Ceci prend effet en fonction de la situation de l’emprunteur ou encore pour des raisons propres à l’assureur. Le prix d’une assurance ne peut par contre pas évoluer suite à la dégradation de l’état de santé.

Le tarif d’une assurance peut être fixe ou révisable

Il vous suffit de regarder du côté du Taux Effectif Global (TEG) pour connaitre le montant final de votre emprunt. Ce dernier regroupe tous les frais inclus dans la démarche pour l’obtention du financement en fonction de la somme demandée. Il doit impérativement apparaitre sur l’offre de crédit. Ceci permettra à l’emprunteur d’avoir un aperçu du remboursement qu’il devra effectuer, mais aussi faire jouer la concurrence. Si le calcul du TEG comporte des erreurs ou s’il n’est pas présent, une contestation peut être effectuée. Dans ce cas, il est remplacé par le taux d'intérêt légal.

Un TEG erroné peut faire l’objet d’une contestation

Que ce soit dans le cadre d’un financement immobilier ou à la consommation, la conjoncture pourrait être favorable pour un rachat de crédit. En effet, les taux d’intérêt sont actuellement à un faible niveau, ce qui accentue la concurrence entre les différents établissements prêteurs. Les emprunteurs pourraient en profiter pour comparer les diverses offres et choisir celle qui serait la plus avantageuse. Ils auront la possibilité de négocier un meilleur taux de crédit ou encore des mensualités moins élevés en rallongeant la durée de remboursement du prêt. Il ne faut pas oublier que l’opération comprend des frais tels que des indemnités de remboursement anticipé qui sont estimées à un maximum de 3 % du capital restant dû.

Le rachat de crédit permet d’alléger les mensualités

Pour bien préparer une cure Thalasso, il faut d’abord évaluer le budget qui sera nécessaire pour le séjour. Plusieurs critères entrent en compte pour définir ce montant. L’hébergement, la durée, mais également la saison.

On le dit plus, il est possible de prétendre à des tarifs plus avantageux dans certains centres de thalassothérapie. À savoir que pour un weekend de soin, il faut compter en moyenne 400 euros, hébergement et soins compris. Par contre, si le particulier choisit un hôtel haut de gamme, l’enveloppe peut monter jusqu’à 1 000 euros.

Le budget pour un séjour Thalasso doit comprendre les soins, mais aussi l’hébergement, entre autres

Pour ce qui est de la durée, un budget de 90 euros par jour de cure. Le particulier peut choisir un forfait, mais il est bon de savoir que le tarif varie en fonction de l’établissement. Le transport comptera aussi dans le calcul pour l’enveloppe qui servira à un tel séjour.

Pour financer la cure, il est possible de souscrire un prêt. Les fonds octroyés peuvent servir aussi bien pour l’hébergement et les cures que pour le transport. Une simulation de crédit peut être effectuée afin de se faire une idée des mensualités qui seront imputées au financement. Cette démarche permet aussi de faire une demande de crédit en fonction de sa capacité de remboursement.